Née à Anvers, Laura a grandi entourée de femmes de caractère. « Ma grand-mère et ma mère ont fondé ensemble une maison de repos. Toute ma famille vivait à l’étage. À la maison de repos travaillent des collaborateurs très différents. Très jeune, j’ai appris que la prospérité et le bien-être pouvaient aller de pair dans le secteur économique. »
Laura, qui enseigne à temps partiel à la Vrije Universiteit Brussel, consacre le reste de son temps à la recherche pour son doctorat en sociologie. « Cette combinaison de recherche et d’enseignement me plaît beaucoup. J’aime travailler en équipe et organiser l’assistanat avec l’ensemble de la faculté. » Pendant son temps libre, elle joue dans un club de basket à Schaerbeek, où elle a emménagé avec son compagnon voici deux ans.
Jeunes et talentueux
Pour sa recherche, elle se plonge dans l’univers des jeunes qui passent un an en classe d’accueil pour primo-arrivants et ne parlent pas le néerlandais. « Ces jeunes ont énormément de talent et de potentiel, mais cela ne se remarque pas toujours. Un an, c’est trop court pour apprendre le néerlandais, et pour tout savoir sur le système scolaire et la société qui les accueille. Souvent, ils ont besoin d’une aide supplémentaire dans l’enseignement classique, mais il y a peu de place pour cela, de sorte que seuls les plus forts arrivent à suivre. » Grâce à sa recherche, elle espère pouvoir aider les écoles à accompagner les jeunes de la façon qui leur convient le mieux.
Envie d’entreprendre
Dans quelques années, quand elle aura terminé sa recherche, Laura veut créer une entreprise sociale. « Le travail académique m’a beaucoup ouvert l’esprit. Étudier les inégalités structurelles change votre comportement dans la vie. J’ai envie de mettre en pratique ce que j’ai appris de façon très concrète. » Si la forme que prendra son entreprise doit encore être définie, Laura l’affirme : « je suis inspirée par des entreprises telles que Supergoods, qui vend des articles durables de soins et d’habillement. Je suis très sensible aux marques qui, aujourd’hui, peuvent me dire qui fabrique leurs produits, dans quelles conditions et suivant quels principes. Je suis convaincue que les consommateurs détiennent un certain pouvoir, et que ce pouvoir augmente à mesure que davantage de personnes choisissent et achètent en conscience. »
Des projets inspirants
C’est cette conviction qui l’a poussée à investir via la Banque Triodos. « Quand mon frère a acheté sa maison, mes parents l’ont aidé. Ils m’ont alors donné la même somme d’argent. Comme mes projets devaient encore mûrir, j’ai décidé d’investir cet argent dans des projets durables en phase avec mes valeurs. »
Outre Supergoods, elle a repéré sur le site web de Triodos d’autres projets qu’elle connaît et a envie de soutenir comme Recyclart à Anderlecht, qui propose des formations aux demandeurs d’emploi peu qualifiés. « Le fait que la banque aide ce genre d’organisation m’inspire confiance. » Un de ses amis en a également fait l’expérience : « Quand il a voulu acheter un logement dans un projet d’habitat groupé, Triodos a tout de suite répondu présent, et il a obtenu son prêt hypothécaire. »
Des jeunes qui investissent
S’agissant d’investissement durable, on trouve actuellement de nombreuses nuances de vert sur le marché. Qu’est-ce qui a justifié son choix ? « Mes parents ont travaillé dur pour gagner cet argent. Je veux donc l’utiliser de manière responsable. Mais je n’ai pas beaucoup de temps à y consacrer. C’est pourquoi je voulais une banque ne soutenant que des projets durables, et pas une banque où ceux-ci ne représentent que 2 % des investissements, par exemple. Dans une banque dont la raison d’être est le développement durable, l’intention est très différente que dans celles qui y détectent un marché. Pour admettre des entreprises dans ses portefeuilles, Triodos place la barre très haut. De plus, Triodos prend le temps de tout expliquer en détail et de dresser votre profil d’investisseur. Cette transparence est importante à mes yeux. »
Laura est parfaitement consciente des risques liés aux investissements : « En effet, on doit être en mesure de se passer pendant tout un temps des fonds qu’on investit. Mais si c’est notre décision, Triodos est l’un des choix les plus sûrs : la banque investit dans des entreprises qui prennent de nouvelles initiatives et mettent en place les solutions de demain. Aujourd’hui, investir dans le non-durable n’est à mon sens plus à l’ordre du jour. En tant que jeune, on a envie d’investir dans l’avenir. »
A la Banque Triodos, nous investissons l'argent que vous nous confiez exclusivement dans des entreprises qui ont un impact social et environnemental positif.
(S)’investir de façon durable ? Avec la Banque Triodos, vous allez plus loin
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